Dans une mise au point en réaction aux allégations de l'ancien détenu au sujet de sa privation d'une copie du registre d'écrou, l'établissement pénitentiaire a précisé que la personne concernée avait déjà reçu deux copies de ce registre sur la base de sa demande, la première en 18 avril 2016 et la seconde au 20 septembre 2019, sachant que "l'administration de la prison effectue annuellement des centaines de copies du registre d'écrou et les remet aux pensionnaires dans des délais impartis".
S'agissant du prétendu manque de soins médicaux, la mise au point fait savoir que l'individu concerné a bénéficié durant la période de sa détention de 26 examens médicaux dans la clinique de la prison et de deux autres à l'hôpital externe.
Pour ce qui est de l'alimentation, le téléphone, la récréation et les activités scolaires et de formation, l’administration de l'établissement pénitentiaire "veille à ce que tous les pensionnaires en bénéficient sur le même pied d'égalité", conclut la mise au point.