Le président de cet institut politique, Antonio Yelpi Aguilar, a souligné dans une déclaration à la MAP que la décision assène "un nouveau coup dur pour la partie instrumentalisée par le front séparatiste et ses partisans qui tentent d'entraver la mise en œuvre de l'accord agricole entre le Maroc et l'Union européenne".
L'expert international a noté que le verdict confirme, une fois de plus, la légitimité de la souveraineté du Royaume du Maroc sur ses provinces du sud et de ses pleins droits à exploiter ses ressources naturelles au profit des populations locales.
La décision reflète également, selon M. Aguilar, la reconnaissance internationale croissante du développement que connaît la région du Sahara marocain, porté en particulier par le nouveau modèle de développement, relevant l'important budget alloué à la mise en œuvre de cette initiative royale ambitieuse, qui couvre plusieurs secteurs vitaux, notamment les énergies renouvelables, le tourisme et les infrastructures.
Il a également souligné que cette victoire judiciaire et politique constitue un nouveau revers pour les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume, moins d'un mois après le rejet par la cour d'appel de Londres de l'action de l'ONG pro-séparatistes "WSC" contre l'accord commercial entre le Maroc et le Royaume-Uni.
Mardi, le Tribunal de Tarascon a rendu un arrêt condamnant la Confédération Paysanne, qui visait à interdire à l'entreprise française spécialisée dans la commercialisation de fruits et légumes en provenance du Maroc, y compris des Provinces du Sud, IDYL, de distribuer ses produits.