Ce nouveau numéro s'articule autour de plusieurs axes portant notamment sur le "Développement du Très Haut Débit dans le Monde : Où en est le Maroc?", la "Consolidation du Processus Désinflationniste : Perspectives d'un assouplissement graduel des conditions monétaires", et "L'Ascension du Maroc dans l'Industrie Automobile et Électrique : Des atouts stratégiques aux réalisations concrètes", fait savoir le CMC dans un communiqué.
Ainsi, le Centre met l'accent sur l'importance du haut débit en tant qu'enjeu stratégique, précisant que plusieurs études distinctes ont conclu à sa contribution positive à la croissance économique, aux gains de productivité, à l'emploi, à la production, à la création de surplus pour les consommateurs et à l'efficacité des entreprises.
Le CMC souligne, en outre, que le Maroc, pays d'Afrique du Nord aux ressources naturelles abondantes et à la position géographique stratégique, se distingue de plus en plus comme un acteur clé dans l'industrie automobile mondiale, notant que le développement du segment des batteries pour véhicules électriques (VE) représente une opportunité majeure pour parvenir au leadership continental dans ce secteur en pleine transformation.
Concernant les Très Petites Entreprises (TPE) et les startups, le Centre fait savoir qu'elles jouent un rôle central en tant que moteurs d'innovation et de création d'emplois. Ces entités, par leur nature flexible et leur capacité à aborder des niches inexplorées, sont particulièrement bien placées pour impulser l'émergence de nouveaux secteurs économiques tels que la robotique, l'informatique ou l'impression.
La même source note aussi que le Maroc a entrepris une série de projets stratégiques et attiré des investissements internationaux pour développer son secteur des batteries électriques, ajoutant que ces initiatives visent à positionner le pays comme un hub de production et d'innovation dans l'industrie des VE, répondant ainsi aux exigences croissantes du marché mondial et aux nouvelles régulations environnementales.
Par ailleurs, le Centre estime que l’année 2025 enregistrerait une croissance de l’ordre de 5,4% en termes réels, et ce sous réserve d'une campagne céréalière moyenne de 60 millions de quintaux (MQtx).