Il s’agit aussi d'”une initiative en phase avec les dynamiques de transformation économique et sociale qui s’opèrent dans les provinces concernées par la culture du cannabis”, a indiqué M. Roudani dans une déclaration à la MAP.
“La Grâce Royale ne se limite pas à un geste de clémence, mais participe à une vision éclairée de Sa Majesté le Roi, celle de l’intégration des bénéficiaires dans la nouvelle stratégie de développement, incarnée par la création de l’Agence Nationale de Réglementation des Activités relatives au Cannabis (ANRAC)”, a relevé l’expert marocain.
À travers cette Haute initiative, Sa Majesté le Roi œuvre non seulement à la réinsertion sociale des bénéficiaires, mais aussi au développement économique durable des régions concernées, a souligné M. Roudani, notant que les cadres légal et réglementaire instaurés par l’ANRAC permettent de canaliser les retombées économiques du cannabis vers des projets structurants, renforçant ainsi la cohésion sociale et économique à l’échelle locale.
La Grâce Royale, a-t-il ajouté, incarne aussi une justice empreinte de compassion, offrant à chacun l’opportunité de se réinventer et de participer à un avenir collectif fondé sur l’inclusion.
Il s’agit d’un “écho contemporain” de la Révolution du Roi et du Peuple, un anniversaire symbolisant l’alliance sacrée entre le Roi et Son peuple, qui continue de renforcer l’identité nationale et de guider le Maroc dans sa quête du progrès et de la prospérité, a estimé M. Roudani.
Cette Initiative renforce ainsi la cohésion nationale en permettant aux bénéficiaires de cette Grâce Royale de se réintégrer dans la société, contribuant ainsi à l’unité et à la solidarité qui ont été les pierres angulaires de la Révolution du Roi et du Peuple, a-t-il conclu.