Le média électronique a souligné que le parrainage marocain sage et impartial du dialogue entre les belligérants libyens a été salué à l’international, précisant que le rôle "constructif et agissant" du Maroc dans la facilitation de ces pourparlers a été loué par les organisations internationales et régionales, en particulier les Nations Unies qui "soutiennent les initiatives visant la paix et la résolution de la crise libyenne".
Dans ce sillage, le Maroc a déployé des efforts inlassables pour réunir les Libyens autour de la table des négociations, le but étant d'œuvrer en faveur d’une solution politique à la crise politique dans ce pays maghrébin, a relevé la même source.
Le site d’information péruvien a rappelé que l’ONU, à travers le porte-parole du Secrétaire général, s’est félicitée de la tenue à Bouznika, au Maroc, du dialogue libyen entre les délégations du Parlement et du Haut Conseil d'Etat de ce pays maghrébin, tout en prenant note du communiqué final conjoint ayant sanctionné ces pourparlers.
L'ONU a également salué les accords conclus entre les délégations libyennes au cours du deuxième round du dialogue inter-libyen à Bouznika, tout en exprimant sa gratitude pour les efforts du Maroc pour réunir les protagonistes autour de la même table de négociations en vue d’une une solution politique à la crise, a rappelé le média péruvien.
Pour le site d’information, le Maroc s’affirme ainsi, sous le règne de SM le Roi Mohammed VI, comme un pays sûr et ouvert, fermement attaché aux valeurs de paix régionale, africaine et internationale, a ajouté MinutoDigitalPeru.
Les délégations du Haut Conseil d'État et de la Chambre des Représentants libyens participant au deuxième round du dialogue inter-libyen à Bouznika ont souligné que ce round a été sanctionné par des accords globaux sur les critères et les mécanismes pour occuper les postes de souveraineté, prévus par l'article 15 de l'Accord politique conclu en décembre 2015 à Skhirat.
Les deux délégations ont précisé, dans une déclaration finale qui a couronné les travaux de ce round, tenu du 02 au 06 octobre, que "les aboutissements du dialogue entre les deux délégations constituent un apport sur lequel il est possible de capitaliser, pour instaurer la stabilité dans le pays et mettre fin à la division institutionnelle".