Dans un article publié sur le site d’information péruvien "Prensa 21", M. Sanchez Serra a souligné que "l'intervention du Maroc pour ouvrir le passage au commerce international s'inscrit dans le sillage de la légalité internationale", notant que "ce n'est pas la première fois que le polisario recourt aux provocations contre le Maroc et viole l'accord de cessez-le-feu".
Les Nations Unies, a-t-il rappelé, ordonnent depuis des années au "polisario" de "cesser d'entraver la mobilité civile et commerciale à El Guerguerat", relevant que le Maroc a décidé d'intervenir pour rétablir la voie terrestre de commerce entre le Maroc, l’Europe et la Mauritanie, qui a été bloquée arbitrairement par des groupes instrumentalisés par le polisario".
Et d’ajouter que l'intervention des Forces Armées Royales a également eu lieu après que le front séparatiste ait refusé de se plier aux appels internationaux, dont celui du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, qui a ordonné le retrait du passage frontalier et la réouverture de la circulation, soulignant que les manœuvres "polisario" à El Guerguerat ont provoqué des tensions et des pertes au commerce international.
Dans le même contexte, M. Sanchez Serra a précisé qu'il n'existe pas de "territoire libéré" comme allégué par le front séparatiste, ajoutant que le Maroc a décidé de créer une ceinture de sécurité à El Guerguerat dans le but de sécuriser la circulation des biens et des personnes et d'éviter de nouvelles manœuvres de ce genre.