Dans un communiqué, la DGAPR a indiqué qu'elle avait lancé ce projet, qui touche à sa fin le 31 décembre, en mars 2019 en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et avec l’appui financier du gouvernement du Japon, et ce dans le but de contribuer à la réinsertion des jeunes détenus de manière durable à travers l’amélioration et l’humanisation des conditions de détention, l’accompagnement des jeunes détenus pour préparer leur réintégration socioéconomique, leur sensibilisation aux graves effets que peuvent entraîner les comportements violents et le développement d’un programme de recherche-action orienté vers la mise en place d’un plan d’action d’accompagnement psychosocial.
Ce projet, poursuit le communiqué, s’inscrit dans le cadre d’un programme plus global pour la mise en œuvre de la stratégie de la DGAPR en partenariat avec le PNUD et qui s’étend sur une durée de 4 ans (2016–2020).
Cette réunion a en effet connu la participation des représentants des trois principaux partenaires du projet et a permis d’aborder les nouvelles perspectives qui découlent de ce partenariat, conclut la DGAPR.