Dans une déclaration à la MAP, l'expert jordanien a souligné que cet acte réprouvé s'inscrit en violation avec les règles du droit international se rapportant au volet des relations amicales entre Etats proclamées par l'Assemblée générale des Nations unies.
Toute atteinte au principe de bon voisinage, notamment en ce qui concerne le respect de la souveraineté pleine et entière, impacte de manière négative la sécurité de la région toute entière, a-t-il ajouté.
Et de poursuivre qu'Alger qui a usé de la falsification de documents et de l'usurpation d'identité pour permettre au dénommé Brahim Ghali de se rendre en Espagne tout en sachant qu'il s'agit d'un criminel de guerre, aurait dû le remettre au Maroc pour qu'il puisse répondre de ses actes.
L'académicien jordanien a enchaîné qu'au lieu de traiter avec un individu qui a du sang sur les mains et qui est accusé de meurtre et de crimes de disparition forcée, torture et d'autres crimes réprimés tant au niveau national qu'international, il fallait resserrer les rangs arabes et prêter main forte au Royaume du Maroc pour exercer sa souveraineté pleine et entière sur l'ensemble de ses territoires aussi bien au Nord qu'au Sud.
Pour Mahmoud Aamar, l'ensemble des pays arabes sont appelés à oeuvrer pour consolider le droit du Maroc à exercer sa souveraineté sur l'ensemble de son territoire national qui comprend le Sahara marocain.