"Au-delà des contraintes que cette taxe engendrerait pour l'industrie et pour l’export, cela pourrait être aussi une opportunité pour renforcer la compétitivité du +Made in Morocco+", a relevé M. Alj s’exprimant lors d’une rencontre sur "Le rôle du secteur privé dans une transition bas carbone résiliente au changement climatique", initiée par la CGEM et la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'Environnement, en partenariat avec l'Ambassade du Royaume-Uni à Rabat.