Ce constat a été dressé lors d’un colloque intitulé "la reconnaissance internationale du Sahara marocain: une orientation mondiale pour mettre fin au conflit artificiel autour de l'intégrité territoriale du Royaume", organisé par la Fédération marocaine des éditeurs de journaux (FMEJ).
Le grand défi auquel sont confrontés les médias nationaux en général, et ceux régionaux en particulier, consiste à l’adaptation aux technologies modernes, en plus de la connaissance des faits historiques, a indiqué Abdeslam El Azzouzi, membre du bureau exécutif de la FMEJ.
Il a jugé indispensable pour le journaliste de maitriser ces nouveaux outils technologiques pour être capable de suivre le rythme de l'évolution du monde dans ce domaine.
M. El Azzouzi a en outre relevé que le dossier du Sahara a connu un tournant stratégique important ces dernières années, notamment après le retour du Maroc à l'Union africaine,, notant que cette initiative a porté un coup dur aux ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume.
Il a évoqué aussi l’intervention sage et pacifique des Forces armées royales (FAR) à El Guergarate pour sécuriser la circulation des biens et personnes à ce poste-frontière, relevant que ces actions ont démontré la pertinence de la politique clairvoyante du Maroc quant à la question de son intégrité territoriale.
En outre, M. El Azzouzi a indiqué que malgré les efforts déployés pour promouvoir la scène médiatique nationale, ce secteur souffre toujours d’une "vulnérabilité remarquable", appelant à plus d’appui et de valorisation du métier et des professionnels.