Interviewé par la MAP sur des sujet liés, entre autres, au programme électoral du PRD, M. Jida a relevé que le parti se prépare à ces échéances de manière différente par rapport aux précédentes élections.
Évoquant le nouveau quotient électoral, le numéro 2 du PRD a souligné qu'il s'agit d'un "paramètre pris en compte au sein de notre formation et qui nous a permis de redoubler d'efforts".
S'agissant du programme électoral de son parti, M. Jida a fait savoir qu'en plus de la promotion de l'économie de marché et de l'entreprise et l'intervention de l'Etat dans le social, "le parti s'est concentré aujourd'hui sur son caractère social-libéral, et nous avons ajouté l'encouragement et la promotion de l'investissement privé".
"Ce dernier point sera un levier économique qui n'a rien avec la politique ou la géopolitique des pays d'origine des investisseurs étrangers", a-t-il ajouté, notant que "cela aidera automatiquement à absorber le chômage".
Notre programme repose également sur la recherche d'un vrai impact des deniers publics sur les différentes couches sociales, et non seulement une seule et unique catégorie, a-t-il poursuivi.
Interrogé sur l'impact du Nouveau modèle de développement (NMD) sur la confection de leur programme électoral, le SG adjoint a indiqué qu'en tant que parti politique, "nous n'avons ni les moyens de l'adopter ni les moyens de le mettre en œuvre, d'autant plus que nous n'avons pas été invités à y participer", ajoutant que "nous nous en inspirerons et prendrons ce qui nous convient".