Dans un communiqué, l'ARMCDH a souligné qu'elle a choisi pour cette édition le thème de la famille qui a été l'élément central dans le débat public durant les périodes de confinement, suite à la crise sanitaire liée au covid 19.
Le concept de la famille a émergé en tant que concept juridique avec le nouveau code de la famille consacrée par la Constitution de 2011, ajoute la même source, notant que l’événement cinéphile souhaite contribuer à y répondre à travers la projection de films et l’organisation d’un débat.
Au programme de cette édition figurent la première projection publique, le 22 juillet à partir de 20h30, sur l’esplanade de la BNRM, du film de Mohamed Mouftakir, "l’automne des pommiers" et la programmation de neuf films à la fois en plein air et sur la plateforme cinéma digital de l'ARMCDH (armcdh.ma) à savoir "Ma vie de courgette", de Claude Barras (Suisse), "Naima", de Sami Saif Sirelkhatim (Maroc) et 'The art of illusion', de Claudia Varejão (Portugal).
La programmation comprend également la projection de "Wajib", de Annemarie Jacir (Palestine), "Renault 12", de Mohamed El Khatib (France- Maroc), "Pupille", de Jeanne Herry (France), "Tender Threads", de Ouijdane Khalid (Maroc) et "Jean", de Louis Heem (France).
Par ailleurs, un débat est prévu samedi prochain à l’auditorium de la BNRM, avec la participation de responsables, de chercheurs et d'acteurs associatifs.
La Nuit Blanche du cinéma et des droits humains est organisée en partenariat avec la fondation Heinrich Böll Rabat, l'ONU femmes Maroc, l'institut français, l'ambassade de Suisse au Maroc, l'ambassade du Portugal au Maroc, l'institut Camões, l'agence portugaise du court-métrage et le Centre cinématographique marocain.