Allant de la condition de la femme, à la généralisation de la protection sociale, en passant par la subvention des produits de première nécessité, le discours royal est porteur d'une forte charge sociale et démontre que le Souverain est à l’écoute de Son peuple, a relevé l'intellectuel kényan dans une déclaration à la MAP.
S'agissant de la question de la Femme, Mochama a souligné que depuis l’adoption de la Moudawana il y a près de 20 ans, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en Sa qualité de Commandeur des Croyants, a fait du Code de la Famille une priorité, mettant en avant les actions du Souverain en matière des droits de la femme.
Sur le plan sanitaire, l'écrivain kényan a souligné que la gestion de la crise de Covid-19 par le Maroc, sous la conduite de SM le Roi, a été exceptionnelle au niveau de l'Afrique et même sur le plan international, mettant en exergue la réussite de la campagne nationale de vaccination qui a bénéficié à l'ensemble des citoyens, y compris les étrangers établis au Maroc, et qui s'est déroulée dans les meilleures conditions.
A cet égard, il a également rappelé que les autorités marocaines ont mobilisé d'importantes ressources pour fournir de l'aide financière aux catégories affectées, ainsi que pour garantir l'approvisionnement en matériels médicaux tels que les masques chirurgicaux et le gel hydroalcoolique.
Dans le même ordre d'idées, Tony Mochama a ajouté que le discours du Trône place l’intérêt du citoyen en tête des priorités, notant que la généralisation de la protection sociale, déjà gratuite pour six millions de citoyens, est un formidable effort de SM le Roi.
La santé est le sujet de préoccupation majeur dans tous les pays, suivi de la sécurité alimentaire, a-t-il dit, se disant "100% confiant dans l'engagement de SM le Roi à assurer la généralisation des allocations familiales dans les délais fixés".
Saluant la détermination du Souverain d'ancrer les principes de solidarité, le journaliste kényan a loué le doublement du budget de la Caisse de compensation en 2022, à plus de 32 milliards de dirhams, pour stabiliser les prix des produits de première nécessité, notant que cette initiative constitue "un exemple brillant" pour le reste de l'Afrique en termes de gestion des crises mondiales, telles que les crises alimentaires, émanant d'événements comme les conflits.