Cette session se caractérise par la participation de 250 Ouléma membres du Conseil supérieur et représentant les 34 sections de la Fondation, dont 50 femmes Alimate, a indiqué la Fondation dans un communiqué, précisant que cette session se réunit dans le cadre de la continuité de l'application des dispositions de l’article 4 du Dahir constitutif de la Fondation.
Il sera procédé, lors de cette rencontre, à la présentation par le secrétariat général de la Fondation, des rapports officiels portant sur les manifestations réalisées au titre des années 2019, 2020 et 2021, a ajouté la même source.
Cette 4ème session verra aussi la présentation, la discussion et la validation des projets des manifestations, au titre de l’année 2023, des commissions relatives aux activités scientifiques et culturelles, aux études de la Charia, à la revitalisation du patrimoine islamique africain et à la communication, la coopération et le partenariat.
Également, deux ateliers portant sur "le projet de la charte des Ouléma africains" et sur "la Revue des Ouléma africains", seront organisés en marge des activités des quatre commissions précitées, fait savoir la même source, précisant qu’un communiqué final du Conseil supérieur, clôturant cette quatrième session de la Fondation, sera présenté, exposant les recommandations résultant des travaux des quatre commissions de la Fondation.
A rappeler que les pays Africains ayant une section de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains sont le Niger, le Kenya, la Somalie, le Burkina Faso, le Tchad, les Iles Comores, le Bénin, la Gambie, le Mali, Djibouti, l’Angola, la Centrafrique, le Gabon, l’Ethiopie, la Sierra Léone, Madagascar, la Guinée-Bissau, le Nigéria, Rwanda, l’Afrique du Sud, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, la République Démocratique du Congo, le Togo, Sao Tomé, le Libéria, le Ghana, la Guinée Conakry, la Tanzanie, le Soudan, l’Ouganda et le Malawi.