Dans une mise au point, la DGAPR indique que "la concernée s’est acharnée pendant des mois à diffuser un ensemble de contre-vérités et de mensonges sur son mari, notamment en ce qui concerne son état de santé après +sa supposée grève de la faim+, incitant la Délégation générale à réfuter ses allégations avec la clarté suffisante et requise à travers la publication d’un nombre de mises au point dans le but d’éclairer l’opinion publique et de lever toute équivoque sur les conditions de détention du prisonnier en question".
"Le recours de la dame précitée à des attaques contre la DGAPR, après des tentatives désespérées d'une meute qui ne recule devant ni le mensonge ni la calomnie, prouve l'échec de ses efforts qui visaient à porter atteinte au secteur de l'administration pénitentiaire et à la réputation de ses fonctionnaires", souligne la mise au point, notant que "l'opinion publique a pris conscience de la nature fallacieuse de ses allégations et de ses tentatives de se poser en victime".
La DGAPR réitère ainsi sa détermination à "poursuivre sa politique de communication basée sur l’ouverture sur l’opinion publique, en faisant face à tous ceux qui diffusent des mensonges relatifs aux conditions de détention des pensionnaires des établissements pénitentiaires, tout en veillant à appliquer la loi régissant ces établissements et à garantir aux détenus l’ensemble des droits qui leur sont accordés par ladite loi", conclut la même source.