Le Royaume a connu "un grand développement" dans le domaine économique et au niveau des infrastructures, outre le lancement de réformes majeures sur le plan social, d’où ce programme favorisera, sans aucun doute, davantage de développement et de progrès, a confié à la MAP, Mme Amar, professeur de l’histoire islamique à l’université de Nouakchott.
Selon Mme Ameur, également présidente de l’Association des cadres mauritaniens, lauréats des universités et écoles marocaines, ce chantier Royal constitue un nouveau palier dans la série de réformes lancées par le Maroc dans le domaine social, comme il illustre l’intérêt particulier qu’accorde le Souverain à la protection sociale, étant convaincu que tout développement commence par des mesures de protection sociale et l'écoute des attentes de la société.
Dans ce sens, ce programme constitue un catalyseur d’une véritable dynamique sociale, a-t-elle souligné, notant qu’il aura des effets positifs sur la situation des familles bénéficiaires et sur un ensemble d’indicateurs sociaux dont la scolarisation des enfants et l’accès à l’assurance maladie.
La volonté Royale de renforcer les mécanismes de protection sociale donnera indubitablement ses fruits sur le terrain, en contribuant au développement du Royaume et à la généralisation de la couverture sociale, a-t-elle dit, expliquant que le programme d’aide sociale directe s’inscrit dans la continuité des projets fondateurs de l’Etat social initiés par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, visant à améliorer les conditions de vie de tous les Marocains, notamment ceux les plus vulnérables.
A cet égard, l’universitaire mauritanienne a mis en valeur la pertinence des autres projets initiés par le Souverain pour renforcer les piliers de l’État social, lancés en parallèle avec la forte dynamique de croissance économique que connaît le Royaume ces dernières années, ce qui témoigne de la Haute sollicitude Royale envers les catégories les plus vulnérables, a-t-elle conclu.