“Le match était hautement intense, vu les écarts avec le Portugal, dont les joueurs sont formés au futsal dès leur jeune âge, alors que nous travaillons directement avec les seniors”, a affirmé Dguig à la MAP, au terme de ce match perdu 4-1.
“Vu nos résultats sur le plan continental, le public place la barre très haut. Mais sur le terrain, il y a des écarts qui ont décidé du sort du match, surtout en termes de gabarit”, a fait remarquer Dguig.
“Le Mondial de futsal a commencé il y a 40 ans. Nous en sommes déjà à la dixième édition. Le Maroc n’a commencé à jouer la Coupe du monde qu’en 2012. Les grandes équipes recueillent déjà le fruit de la formation des jeunes catégories, alors que notre expérience en la matière ne fait que commencer”, a rappelé le sélectionneur national.
En plus, les rapports de force étaient déséquilibrés sur le plan numérique, a-t-il souligné, expliquant qu’”après la blessure d’Ismail Amazal (en début de match, Ndlr), nous manquions deux joueurs dans la liste officielle (après Othmane El Idrissi forfait dès le premier match, Ndlr)”.
En huitièmes de finale, les Nationaux affronteront, jeudi prochain à Boukhara, le premier du groupe F, soit la France ou l’Iran.
S’ils passent en quarts, ils défieront très probablement le Brésil, en superforme lors de ces joutes et qui joue son huitième contre une des meilleures troisièmes équipes.